Lieusaint, véritable musée à ciel ouvert ! Retrouvez l’histoire de la ville à travers ses monuments emblématiques, ses lieux pittoresques, et ses espaces de culture et de nature, le tout à travers des photographies d’archives et des oeuvres d’artistes.
Lieusaint en peinture
Découvrez la ville au travers du regard de l’artiste Franck Senaud, en résidence à la Maison des cultures et des arts de Lieusaint de septembre 2024 à septembre 2025.
La sucrerie.
Situé sur l’emplacement actuel du bassin de la Motte, la sucrerie a été créée en 1876 pour fabriquer du sucre provenant de la betterave sucrière produite dans les fermes alentour. La famille Beghin acquit cette sucrerie en 1941. Dans les années 1960, elle était l’une des plus modernes d’Europe, produisait 70 boîtes de 1kg de sucre à la minute et fournissait les palaces parisiens. Avec ses 9 cuves de 15 tonnes chacune, elle tournait 24h/24 et 7 jours/7 avec 63 permanents et 80 saisonniers. En 1976, elle fut vendue à une banque et s’orienta dans la fabrication du méthane issu des résidus de betterave et de distillation, émanant des gaz sulfurés pestilentiels. C’était le début de la fin de cette sucrerie qui cessa toute activité en 1989 et fut démolie en 1996.
IUT de Sénart.
L'IUT de Sénart a ouvert ses portes à Lieusaint en 1988. Il fait partie de l'Université Paris-Est-Créteil (UPEC) qui regroupe 13 facultés, instituts et écoles. Avec le site de Fontainebleau, il accueille plus de 4 000 étudiants chaque année dans ses 9 départements pédagogiques allant des carrières sociales au génie biologique et civil, à l'informatique, ou encore aux métiers de l'internet et du multimédia. Il propose une large gamme de formations du DAEU aux licences professionnelles et BUT, en passant par des parcours spécifiques comme le DU International Business and Administration Management. Desservi par le TZen, l'IUT accueillent ses étudiants dans des locaux modernes et confortables tout en étant pourvu d'équipements pédagogiques de pointe.
Lieusaint en cartes postales
Plongez dans les images d’archives de la ville à travers une série de cartes postales retraçant l’état de la commune et en particulier de la rue de Paris.
